Il aurait pu s’appeler la femme dans la toile, car cette dernière est représentée comme un lieu de vie, une cellule et peut-être même une prison. L’arrière plan est inspiré et même calqué sur l’ombre portée que diffusait la lumière au travers de mon petit studio de Sérignan, village dans l’Hérault. On peut y deviner la silhouette flou de l’échelle de mon lit mezzanine, de mon chevalet et du feuillage de mon ficus qui m’a suivi jusqu’à ce jour. Le personnage se fond dans ce décor et finalement y trouve un refuge. On peut également noter le format allongé de la toile, clin d’oeil à la culture japonaise.